Venture capitalists take note!
More important even than its distinguished panel, Haiti’s first-ever Global Entrepreneurship Day was a hands-on affair for dynamic students from 10 Haitian universities. The students were asked to come up with a business model that could strengthen Haiti’s economy, create jobs, and overcome the problems associated with entrepreneurship discussed by the panel.
Ideas flowed and competition was fierce as the students worked into the afternoon on their presentations. Second place went to the Institut des Hautes Etudes Commerciales et Économiques for its proposed tourism business and third place to the Centre de Formation Professionnelle d’Haiti, Canado Technique, for a business selling leather goods.
However, the winner, Université Quisqueya, had another idea: almonds.
While almond consumption worldwide has more than doubled in the past decade, almonds are an underutilized food crop in Haiti that is nevertheless grown throughout the country. Quisqueya’s company would offer a range of almond-based products including butter, cooking oil, soap, skin cream, and candy bars.
In their presentation, the Quisqueya students explained why their company—which they named ZANMANN LAKAY (Almonds of Haiti)—would be successful. Little start-up capital is needed as the raw materials (almond trees) are available in large quantities and are a renewable resource; and almond handling and processing are a relatively simple procedure. The students also focused on the health benefits of the almond, as well as the agricultural jobs that would be generated through almond planting, picking, and processing. Finally, they noted the products’ potential for export, and the low level of competition in a market with potential for growth.
“What we learned from the panelists is that you can create from nothing, you don’t necessarily need a lot of money, it doesn’t have to be that complicated,” explained Regine Jean, a member of the Quisqueya team. “You look at what you have to do and you do it.”
PDT congratulates Jean Woody Jean Jaques, Stanley Antoine, Anaise Carine Cenatus, Regine Jean, Maniouscheca Edouard, and Ralph Douge from Qusiqueya; Raoul Baptiste, Rose-Bernante Alexandre, Fallone Augustin, Meshac Gervais, Gaetan Jean Cesar, and Fadette Valbrune from IHECE; and Donald Compere, Kezderline Saintil, Pierre Derson Andre, Rosito Meus, Steev Cetout, and Adams Smith from Canado.
As for Qusiqueya and its almond company, the message from team member Ralph Douge can be summed up in a nutshell: they’re looking for financing. //
Des étudiants de Quisqueya remportent la victoire avec leur proposition pour une entreprise d’amandes
Spécialistes du Capital-Risque prenez note !
Encore plus important que son distingué comité, La première Journée Mondiale de l’Entrepreneuriat en Haïti a été un événement pratique pour les étudiants dynamiques venant de 10 universités haïtiennes.
Les étudiants ont été invités à fournir un modèle d’entreprise qui pourrait renforcer l’économie Haïtienne, créer des emplois, et surmonter les problèmes liés à l’entreprenariat comme discuté par le groupe d’experts.
Les idées jaillissaient et la concurrence était de taille pendant que les étudiants travaillaient jusque dans l’après-midi sur leurs présentations. L’Institut des Hautes Etudes Commerciales et Économiques a gagné La Deuxième place pour sa proposition d’Entreprise Touristique et la troisième place est revenue au Centre de Formation Professionnelle d’Haïti, Canado Technique, pour une Entreprise de Vente d’Articles en Cuir.
Cependant, le vainqueur, Université Quisqueya, a eu une autre idée : les amandes !
Alors que la consommation d’amandes a plus que doublé dans le monde entier au cours de la dernière décennie, les amandes sont une culture vivrière insuffisamment utilisée en Haïti bien qu’elles poussent partout à travers le pays. La compagnie de Quisqueya offrirait toute une gamme de produits à base d’amandes allant du beurre, l’huile de cuisine, le savon, la crème pour la peau, aux friandises.
Dans leur présentation, les étudiants de Quisqueya ont expliqué pourquoi leur compagnie-qu’ils ont appelé ZANMANN LAKAY (Amandes d’ Haïti) – serait couronnée de succès. Le capital de base nécessaire au démarrage de l’entreprise serait minime car les matières premières (amandiers) sont disponibles en grande quantité et sont une ressource renouvelable; et de plus la procédure de traitement, de manutention et de transformation de l’amande est relativement simple.
Les étudiants ont également mis l’accent sur les effets bénéfiques de l’amande sur la santé, ainsi que sur les emplois agricoles qui seraient générés par le biais de la plantation, la cueillette, le traitement et la transformation des amandes. Enfin, ils ont noté le potentiel d’exportation des produits et le faible niveau de concurrence dans un marché ayant une forte capacité de croissance.
« Ce que nous avons appris des panélistes c’est que vous pouvez créer à partir de rien, vous n’avez pas nécessairement besoin d’avoir beaucoup d’argent, cela n’a pas besoin d’être tellement compliqué, », a expliqué Régine Jean, membre de l’équipe de Quisqueya. « Vous examinez ce que vous devez faire et vous le faites ! »
PDT félicite Jean Woody Jean Jaques, Stanley Antoine, Anaise Carine Cenatus, Régine Jean, Maniouscheca Edouard, et Ralph Douge de l’Université Quisqueya; Raoul Baptiste, Rose-Bernante Alexandre, Fallone Augustin, Meshac Gervais, Gaetan Jean Cesar, et Fadette Valbrune de l’Institut des Hautes Etudes Commerciales et Economiques; Donald Compere, Kezderline Saintil, Pierre Derson Andre, Rosito Meus, Steev Cetout, et Adams Smith du Collège Canado.
Quant à Quisqueya et à sa compagnie d’amandes, le message du membre de l’équipe, Ralph Douge, peut se résumer en un mot : ils sont à la recherche de financement.